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La sarabande de Haendel

La sarabande de Haendel

La sarabande de Haendel

La sarabande de Haendel est le quatrième mouvement de la suite N.4 en ré mineur pour clavecin, opus 437. Composée entre 1703 et 1706, lors de ses débuts, alors que Haendel demeure à Hambourg, elle fut publiée pour la première fois en 1733, dans le second recueil de pièces pour clavecin avec huit autres suites. Dans ce recueil, c’est sans doute la Suite N.4 la plus connue du grand public, elle sort de l’ombre dans les années 70 après avoir été diffusée dans un film à succès de Stanley Kubrick.

Structure de la suite N.4 pour clavecin

  • Mouvement I – Prélude
  • Mouvement II – Allemande
  • Mouvement III – Courante
  • Mouvement IV – Sarabande
  • Mouvement V – Gigue

Georg Friedrich Haendel, biographie

George Haendel est un compositeur allemand naturalisé britannique, emblématique de la période baroque au même titre que Jean-Sébastien Bach. Nous lui devons de grandes œuvres telles que Le Messie, des concerti pour orgue et concerti grossi, ses suites pour clavecin, des musiques de plein air comme Water Music et Music for the Royal Fireworks. De son vivant, il connaît un vif succès en Grande-Bretagne où il finit par se faire naturaliser, mais aussi en Italie, où il séjourne pendant trois ans ou en France.

Virtuose hors pair à l’orgue et au clavecin, il joue également du violon ou du hautbois qu’il apprend dès sa formation. Contrairement à la plupart des musiciens de l’époque, il ne provient pas d’une famille de musiciens et doit s’opposer à la volonté de son père qui le destine à une carrière de juriste.

Qu’est-ce qu’une sarabande ?

La sarabande est une danse qui pourrait être d’origine mexicaine, suite à l’évolution d’une danse espagnole aux influences maures. Cette danse, la « zarabanda » est évoquée pour la première fois en 1539, dans le poème « Vida y tiempo de Maricastaña », de Fernando de Guzman Mejía. Cette danse était particulièrement populaire dans les colonies espagnoles aux XVI et XVII siècles pour se propager ensuite en Espagne.

Qualifiée au départ d’indécente, elle poursuit sa diffusion en Italie et en France au 17e siècle. Il s’agit alors d’une danse de cour plus lente. Puis au XVIII, les musiciens baroques incluent fréquemment des sarabandes comme troisième ou quatrième mouvement de leurs compositions et l’accompagnent souvent d’une jigue. Jean-Sébastien Bach donnait souvent une place privilégiée aux saranbandes, y compris dans des œuvres n’ayant pas trait à la danse.

La sarabande est régulièrement employée  de cette époque à nos jours, Mudarra, Corelli, Haendel. Au XIX et début du XX, elle est remise au goût du jour par le compositeur norvégien Edvard Grieg et largement employée par la suite : Claude Debussy, Eric Satie, Vaughan Williams, Benjamin Britten ou Herbert Howells.

Publié dans Musiqueet étiquetéMusique classique.
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